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I can’t believe it’s you. - feat Axel Davis
Risen Ashes :: La ville morte :: Malden zone 3 - Quartier Haven Creek :: Malden Airport - la Résistance
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Rafaël James
Messages : 26
Crédits : google
Age : 36
Localisation : Chambre 206 - La Résistance
Emploi : Explorateur
# I can’t believe it’s you. - feat Axel Davis le : 31.12.22 14:45
It’s you. It’s always been you.
La difficulté depuis ses dernières années est de se souvenir des bonnes choses. L’espoir est devenu presque invisible. Je n’ai plus personne. Mais je crois que le pire, c’est le manque. Le manque des personnes que j’aime. Pourtant tous les jours, je me lève et je songe à ses personnes, et je me dis que malgré tout, je ne devrais pas me laisser abattre.
Je me prépare tranquillement ce matin. Je traîne un peu en réalité. Je prends une douche rapide, car pas trop le choix, et je m’habille. Un tee shirt à manches longues un jean, mes chaussures de randonnées et une chemise épaisse style bûcheron. Je finis par mettre mon bonnet également et je sors de la chambre que j’occupe pour aller visiter les différents endroits du camp. Je passe d’abord à l’infirmerie faire soigner mon avant bras, qui a été salement amoché lors d’une sortie. Je me rends ensuite au poste de sécurité. Il y a eu des intrusions de bestioles dans le camp et les clôtures au sud ont un certain besoin.
Je traite ce sujet avec la sécurité mais je dois rejoindre la réserve afin de discuter avec les membres de la Coalition, qui nous ont livré des denrées en échange de celles que l’on a amené il y a quelques jours. J’ai plutôt envie d’être enfermé dans ma chambre, ou ce qui me sert de bureau ou encore être dehors à chercher des choses utiles mais je n’ai pas le choix que de m’occuper de ces affaires là. J’arrive dans la réserve mais ils sont en train d’en sortir de l’autre côté, alors je les poursuis à grandes enjambées. Mon regard est attiré par une tête bien trop connue, et je frise l’arrêt cardiaque. « A.. Axel c’est toi ? »
Je me suis stoppé non loin de la porte, je me sens incapable d’avancer, comme si du béton dur et sec était apparu autour de mes pieds, et que le reste de mon corps se liquéfie. Et lorsqu’il se retourne vers moi, j’ai l’impression d’exploser en milles morceaux. C’est lui, il est face à moi. Je ne respire même pas, et je ne m’en rends pas compte. Cela fait 5 ans que je ne l’ai pas vu, 5 ans que je le croyais mort.
Je me prépare tranquillement ce matin. Je traîne un peu en réalité. Je prends une douche rapide, car pas trop le choix, et je m’habille. Un tee shirt à manches longues un jean, mes chaussures de randonnées et une chemise épaisse style bûcheron. Je finis par mettre mon bonnet également et je sors de la chambre que j’occupe pour aller visiter les différents endroits du camp. Je passe d’abord à l’infirmerie faire soigner mon avant bras, qui a été salement amoché lors d’une sortie. Je me rends ensuite au poste de sécurité. Il y a eu des intrusions de bestioles dans le camp et les clôtures au sud ont un certain besoin.
Je traite ce sujet avec la sécurité mais je dois rejoindre la réserve afin de discuter avec les membres de la Coalition, qui nous ont livré des denrées en échange de celles que l’on a amené il y a quelques jours. J’ai plutôt envie d’être enfermé dans ma chambre, ou ce qui me sert de bureau ou encore être dehors à chercher des choses utiles mais je n’ai pas le choix que de m’occuper de ces affaires là. J’arrive dans la réserve mais ils sont en train d’en sortir de l’autre côté, alors je les poursuis à grandes enjambées. Mon regard est attiré par une tête bien trop connue, et je frise l’arrêt cardiaque. « A.. Axel c’est toi ? »
Je me suis stoppé non loin de la porte, je me sens incapable d’avancer, comme si du béton dur et sec était apparu autour de mes pieds, et que le reste de mon corps se liquéfie. Et lorsqu’il se retourne vers moi, j’ai l’impression d’exploser en milles morceaux. C’est lui, il est face à moi. Je ne respire même pas, et je ne m’en rends pas compte. Cela fait 5 ans que je ne l’ai pas vu, 5 ans que je le croyais mort.
KoalaVolant
Invité
# Re: I can’t believe it’s you. - feat Axel Davis le : 31.12.22 16:23
It’s you. It’s always been you.
Épuisé, c'est le seul mot qui me vient à l’esprit lorsque je pense à mon état. Pourtant je vais fis de ma fatigue dès lors qu’on me demande d’accompagner d’autre pour apporter je ne sais plus vraiment quoi, il est possible que je n’ai pas réellement écouter après les instructions. L’épuisement mental commençait doucement, mais sûrement à se faire sentir sans pour autant être inapte à quoi que ce soit, bien au contraire même, mais la fatigue devenait presque un moteur. Mais bon, le repos n'était pas non plus une option négligeable. Sur place je salue simplement ceux qui nous accueil, je n’étais pas le genre à me mélanger aux discussions, écoutant simplement, parlant que lorsque cela attirait mon attention. Ou encore lorsque cela ne me plaisait pas. Fermer ma bouche ne devait pas non plus être quelque chose de dérangeant ayant parfois mon avis qu’il plaise ou non, un caractère qui faisait que je n’avais pas ma langue dans ma poche, mais je faisais profile bas autant que je le pouvais ce qui était parfois quelque peu compliqué.
Mon corps qui se tend violemment, une voix que je pensais plus entendre, cinq ans que mon cœur l'appelle, trois que je nourris le faible espoir de pouvoir le revoir, qu’il soit vivant. Je n’ose dans un premier temps me retourner pour avoir la preuve que ce n’est pas une illusion que mon esprit me joue. L’espoir que quelqu’un ne joue pas avec mon esprit pour me faire apparaître cet être que mon âme appelait. Raf… Un simple souffle. Une surprise qui fait échos à la mienne. Un organe qui pense que se lancer dans une course effrénée est une idée judicieuse, je reste un instant sans rien dire, fixant simplement l’homme qui m'avait ravi mon cœur.
Mon corps qui se meuve pour aller à sa rencontre le prenant dans mes bras, je me moquais bien de ce que les gens pensaient. Il était là, je sentais son corps contre le miens, sa chaleur. Lui, il était simplement là. Tu es vivant. Je me recule, observe son visage que je n’avais plus vu que lorsque mes yeux étaient clos. Un flot d'émotions que je ne saurais décrire, hormis ce sentiment de joie intense qui parcourt mes veines en le voyant ici à la Résistance. Putain tu es vraiment vivant. Une impression que mon être revit, que j’étais mort depuis tout ce temps. Je pensais ne plus te revoir. Un aveu qui fait mal, mais qui est réel.
Mon corps qui se tend violemment, une voix que je pensais plus entendre, cinq ans que mon cœur l'appelle, trois que je nourris le faible espoir de pouvoir le revoir, qu’il soit vivant. Je n’ose dans un premier temps me retourner pour avoir la preuve que ce n’est pas une illusion que mon esprit me joue. L’espoir que quelqu’un ne joue pas avec mon esprit pour me faire apparaître cet être que mon âme appelait. Raf… Un simple souffle. Une surprise qui fait échos à la mienne. Un organe qui pense que se lancer dans une course effrénée est une idée judicieuse, je reste un instant sans rien dire, fixant simplement l’homme qui m'avait ravi mon cœur.
Mon corps qui se meuve pour aller à sa rencontre le prenant dans mes bras, je me moquais bien de ce que les gens pensaient. Il était là, je sentais son corps contre le miens, sa chaleur. Lui, il était simplement là. Tu es vivant. Je me recule, observe son visage que je n’avais plus vu que lorsque mes yeux étaient clos. Un flot d'émotions que je ne saurais décrire, hormis ce sentiment de joie intense qui parcourt mes veines en le voyant ici à la Résistance. Putain tu es vraiment vivant. Une impression que mon être revit, que j’étais mort depuis tout ce temps. Je pensais ne plus te revoir. Un aveu qui fait mal, mais qui est réel.
KoalaVolant
Rafaël James
Messages : 26
Crédits : google
Age : 36
Localisation : Chambre 206 - La Résistance
Emploi : Explorateur
# Re: I can’t believe it’s you. - feat Axel Davis le : 31.12.22 17:15
It’s you. It’s always been you.
Il fait un peu froid dans cet endroit, ou alors c’est peut être la fatigue je sais pas, mais j’ai hâte de repartir me terrer dans mon trou. Je dors un peu mal en ce moment en plus, alors je suis légèrement irritable. Pourtant la minute suivante je ne peux plus bouger, comme si un mirage se déroulait devant mes yeux. Le fantôme d’un passé auquel je m’accroche tant bien que mal. Je ne parviens pas à respirer. Je le regarde. C’est lui, c’est bien lui. Il est en vie et il est face à moi.
Lorsque je sens son corps contre le mien, ma respiration se débloque. Je fais d’ailleurs un bruit d’enfer, il se pourrait même que j’ai bavé je ne sais pas. Mes doigts agrippent sa veste et je le serre contre moi à mon tour. « Toi aussi hein.. je veux dire que je ne rêve pas ? » Je le regarde à mon tour lorsqu’il se recule et j’observe son visage. Les personnes ont quitté l’entrepôt pour sûrement aller se réchauffer à l’espèce de bar qui se trouve dans le lieu commun du camp.
Je glisse mes doigts sur sa joue et je touche sa peau légèrement râpeuse. « Je ne pensais pas non plus.. même si au fond de moi, je savais que tu étais vivant.. » Je le regarde dans les yeux, et je pose la tête contre son épaule en lâchant un rire nerveux, et à la fois timide. Mais quel abruti je fais. Je caresse sa joue de mon pouce. Je sens son odeur sur ses vêtements et qu’est ce qu’il m’a manqué.
Je colle ma tempe contre sa joue, alors que je pose mes lèvres contre son cou, puis je relève peu à peu mon visage, jusqu’à venir chercher ses lèvres, et je l’embrasse, timidement, maladroitement, mais je ne peux pas ne pas le faire. Je me sens revivre, je sens de nouveau cette chaleur au creux de mon torse, et c’est la plus belle chose au monde. Je pose mon front contre le sien, avant de murmurer. « Comment tu vas..? Tu sembles en forme.. » Je reste accroché à lui, d’un bras, je refuse de le lâcher, pas pour le moment.
Lorsque je sens son corps contre le mien, ma respiration se débloque. Je fais d’ailleurs un bruit d’enfer, il se pourrait même que j’ai bavé je ne sais pas. Mes doigts agrippent sa veste et je le serre contre moi à mon tour. « Toi aussi hein.. je veux dire que je ne rêve pas ? » Je le regarde à mon tour lorsqu’il se recule et j’observe son visage. Les personnes ont quitté l’entrepôt pour sûrement aller se réchauffer à l’espèce de bar qui se trouve dans le lieu commun du camp.
Je glisse mes doigts sur sa joue et je touche sa peau légèrement râpeuse. « Je ne pensais pas non plus.. même si au fond de moi, je savais que tu étais vivant.. » Je le regarde dans les yeux, et je pose la tête contre son épaule en lâchant un rire nerveux, et à la fois timide. Mais quel abruti je fais. Je caresse sa joue de mon pouce. Je sens son odeur sur ses vêtements et qu’est ce qu’il m’a manqué.
Je colle ma tempe contre sa joue, alors que je pose mes lèvres contre son cou, puis je relève peu à peu mon visage, jusqu’à venir chercher ses lèvres, et je l’embrasse, timidement, maladroitement, mais je ne peux pas ne pas le faire. Je me sens revivre, je sens de nouveau cette chaleur au creux de mon torse, et c’est la plus belle chose au monde. Je pose mon front contre le sien, avant de murmurer. « Comment tu vas..? Tu sembles en forme.. » Je reste accroché à lui, d’un bras, je refuse de le lâcher, pas pour le moment.
KoalaVolant
Invité
# Re: I can’t believe it’s you. - feat Axel Davis le : 01.01.23 18:14
It’s you. It’s always been you.
Sentir sa chaleur, le sentir là dans mes bras, je me sens revivre. Je nourrissais depuis que ma mémoire était revenu l’espoir dérisoire qu’il soit en vie, mais le temps passait et je peinais à croire que je pourrais le retrouver un jour. Pourtant il était là il n’était pas le fruit d’une imagination déséspérer, son corps contre le miens, si cela était une illusion, j’en acceptais la cruauté. Son souffle alors qu’il reprend sa respiration me ramène à la réalité. Ses bras qui se referment sur moi, je ne saurais décrire réellement ce sentiment qui parcourait mon être en cet instant, mais je ne pouvais que le décrire comme cette sensation de me sentir vivant de nouveau, cela ne m’était pas arrivé depuis si longtemps maintenant. Mon regard sur sa personne la réalisation se fait de plus en plus présente, une réalité plus vraie que je ne l’aurais espérer. Si s’en est un je ne veux pas me réveiller Mes mots pouvaient paraître niais ou je ne sais quoi je m'en contre foutais royalement. Je ne me rends même pas compte que nous nous retrouvions désormais seuls, une bulle s’était créée dès lors que mon regard s’était posé sur Rafaël.
Mes yeux qui se ferment en sentant le contact de ses doigts sur mon visage, une impression de redecouvrir une sensation qui pourtant était gravée dans ma mémoire. Un aveu que je lui offre, la peur que je pensais plus le revoir, un fait partager. On ne se debarrasse pas de moi facilement. Même si la mort m’a frôlé plus d’une fois ces dernières années. Je le serre un peu plus contre moi, une impression qu’il pourrait disparaïtre de nouveau. Un besoin de savourer ce moment simple d’avoir retrouver l’autre. Jamais je n’aurais cru le retrouver ici, un choix de changer de voie qui s’était avéré la meilleure décision. Son odeur, sa chaleur, mes pensées se répère, mais simplement il était là. Ce n’était plus un mirage qui hantait mes nuits et mes pensées, mais juste une réalité douce que j'accueillais avec une joie non feinte. Mon coeur était apaisé, mon coeur avait retrouvé simplement sa moitié.
Un frisson cette fois en sentant ses lèvres dans mon cou, avant de venir sur les miennes. Un soupir qui sort contre ses lèvres, seigneur enfin. Mes yeux qui se ferment par automatisme, un goût de trop peu quand il s’éloigne. Mon regard qui reste posé sur sa personne ne le quittant à aucun moment. Comment le pourrais-je ? Trop longtemps, trop de temps loin de lui. Ça va, encore plus maintenant que je t’ai retrouvé Ma main vient se poser sur sa joue la caressant doucement. Et toi ? un sourire qui se dessine sur mes lèvres, mes deux mains sur son visage le caressant du pouce ses joues. Mes lèvres qui viennent prendre les sienne, ma langue au contact de la sienne un besoin simple en ce moment, profité de sa présence. Un besoin de sentir un contact qui n'avait pas pu être assouvi depuis cinq années. Je ne me souvenais plus de notre dernier baiser, un regret tant celui-ci aurait réellement été le dernier dans le pire des cas. Putain je ne réalise pas t’es là, t’es vivant merde Mes lèvres qui se pose une nouvelles fois sur les siennes. Dis moi tout, tu étais ici depuis tout ce temps ?
Mes yeux qui se ferment en sentant le contact de ses doigts sur mon visage, une impression de redecouvrir une sensation qui pourtant était gravée dans ma mémoire. Un aveu que je lui offre, la peur que je pensais plus le revoir, un fait partager. On ne se debarrasse pas de moi facilement. Même si la mort m’a frôlé plus d’une fois ces dernières années. Je le serre un peu plus contre moi, une impression qu’il pourrait disparaïtre de nouveau. Un besoin de savourer ce moment simple d’avoir retrouver l’autre. Jamais je n’aurais cru le retrouver ici, un choix de changer de voie qui s’était avéré la meilleure décision. Son odeur, sa chaleur, mes pensées se répère, mais simplement il était là. Ce n’était plus un mirage qui hantait mes nuits et mes pensées, mais juste une réalité douce que j'accueillais avec une joie non feinte. Mon coeur était apaisé, mon coeur avait retrouvé simplement sa moitié.
Un frisson cette fois en sentant ses lèvres dans mon cou, avant de venir sur les miennes. Un soupir qui sort contre ses lèvres, seigneur enfin. Mes yeux qui se ferment par automatisme, un goût de trop peu quand il s’éloigne. Mon regard qui reste posé sur sa personne ne le quittant à aucun moment. Comment le pourrais-je ? Trop longtemps, trop de temps loin de lui. Ça va, encore plus maintenant que je t’ai retrouvé Ma main vient se poser sur sa joue la caressant doucement. Et toi ? un sourire qui se dessine sur mes lèvres, mes deux mains sur son visage le caressant du pouce ses joues. Mes lèvres qui viennent prendre les sienne, ma langue au contact de la sienne un besoin simple en ce moment, profité de sa présence. Un besoin de sentir un contact qui n'avait pas pu être assouvi depuis cinq années. Je ne me souvenais plus de notre dernier baiser, un regret tant celui-ci aurait réellement été le dernier dans le pire des cas. Putain je ne réalise pas t’es là, t’es vivant merde Mes lèvres qui se pose une nouvelles fois sur les siennes. Dis moi tout, tu étais ici depuis tout ce temps ?
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